2 juil. 2009

Ricola ne rigole pas, 1er Acte



Si ..si ..ouai..ouai "booba team, concert urban peace 2 le 4 octobre 2008 0:54 min", ben ouai ça fait un petit moment que je n’ai plus posté ici ni ailleurs, je n’ai pas à me justifier mais je vais tout de même le faire. Parce que le grand manitou, le « postmaster », celui qui donne les gifles ici c’est moi, ensuite, bien plus important et digne d’intérêt pour vous, mon absence est imputée à l’écriture de cet article.A dire vrai au départ l’idée me paraissait amusante, lorsque toute l’équipe (2 personnes) m’a proposé quelque chose de nouveau et de plus excitant qu’une mamie défroquée en jpeg j’ai foncé tête baissé.

Vais je enfin pouvoir sortir ma mallette d'espion "007", mes jumelles en plastique et ma montre laser à diodes rouges ? Vais je pouvoir martyriser mon propre docteur No avec un golden gun privé ? mais que me réservent-ils ,les bougres? une virée dans les hautes sphères de l'État ? une enquête sur un crew d'éleveurs de poulets albinos ? quelque chose de bien plus gros que la mise à jour d'une organisation extraterrestre !

En effet mes amis c'est la suisse qui devra désormais écarter les cuisses devant l'excellence, le charisme et l'entourloupette.

Bref ce travail qui n’en est qu’à sa première étape à pour but, tu l’auras deviné lecteur surdoué () d’infiltrer les secrets de cet ovni européen, de ce nid à monnaie, à vaches violettes chocolatières, d’homme à tête de gyrophare ventant les mérites d’un bonbon (bio, sain et naturel), la Suisse ! Le but étant De démontrer avec un ethnocentrisme décoiffant la supériorité française, parce que oui la Suisse est étrange, les suisses spéciaux, et leurs chocolats hallucinogènes.

Toutefois percer le mystère suisse n’est pas aisée, ni donner au premier venue.

Non, c’est vrai qu’ils emploient un français plutôt paresseux, que certaines mœurs suisses sont étrangères de nos coutumes, mais jusque là rien de plus inquiétant que ce que l’on retrouve chez nos amis québécois ou encore belges (oublions les monégasques (monaco) ils n’ont et ne doivent définitivement avoir aucun rapport avec la France et ce depuis qu'une de leur princesse à découvert la musique).

Ainsi ce que nous prenons pour du divertissement, pour quelque chose de folklorique connais une résonance, bien plus profonde, machiavélique et malsaine qu’apriori.

C’est ce que cette nouvelle série d’articles plus proche de l’observation ethnographique que d’une approche sociologique dans ses aspirations scientifiques tentera d’appuyer ou d’infirmer.

Fouiller dans la culture suisse pour une personne non initié ou non introduite peut s’avérer dangereux et mettre en péril de nombreuses vies, c’est donc par souci de résultat et surtout par peur et lâcheté que j’ai décidé de faire mon trotskyste et s'infiltrer.

Des lors il me fallait trouver un spécimen suisse à charmer, soudoyez appelez cela comme vous voudrez. Question de compatibilité sexuelle j’ai choisi de lorgner du coter de la gente féminine et cela tombait bien mademoiselle Mx. suisse de son État squattait justement et impunément les bancs de l’un de mes Td. Il est inutile de rentrer dans les détails mais la tentative d’approche fût un succès si cuisant que je fît l’énorme erreur de transformer cette amitié naissante en une relation de type « amoureuse » ( à éviter donc, les relation amicales sont plus constantes).

Nous tenterons dans un premier temps d’analyser la première affirmation que mademoiselle m’a concédé et ce devant un extrait de turkish star wars sur narnaland.com:

Tandis que, maladroitement, l’acteur turque, une pierre en polystyrène attaché à chaque jambe tentait de nous faire croire à un entrainement contraignant, voici ce qu’elle me dit :« Mais en suisse on s’accroche aussi des cailloux autour des jambes pour courir, c’est comme cela que l’on s’entraine et tous les suisses font ça ! »

Chassant de mon imaginaire l’absurde d’une telle situation, je ne peut m’empêcher d’ approfondir l’idée, ce n’est sans doute pas à des fin sportive tant les suisses si illustrent aux jeux olympique d’hiver n’arrivent lorsqu’il s’agit d’athlétisme qu’à être ridicules.

Qu’elle est donc la raison de cet entrainement archaïque qui joui d’un popularité universellement suisse ?
Elle y répondit sans que je n’eusse à faire d’effort : « c’est au cas ou il y aurait une guerre. »

Quelle réponse étrange ?!, les suisses sont pourtant connue pour être de grand pacifistes pourfendeur d’un neutralité et d’un système financié qui arrange plus qu’il ne gêne, bien plus à l’abri d’un conflit armé que la plupart de ses homologues européens. Mais alors seule une escarmouche désirée pourrai inquiéter la Suisse. Or pour toute cette population l’exercice du caillou n’est autre qu’un entrainement militaire.

La logique et le bon sens semblent me montrer une nouvelle voie : la vision d’un pays rabougri qui ne sert qu’a la finance et aux chirurgie, très peu glorieux, d’une histoire que l’on pense à tord monotone et qui par complexe va tenter de prouver au monde, par les armes et grâce à une population déterminée, qu’il à les moyens d’annexer l’Europe plongeant celle-ci dans une guerre absurde (en même temps, ce n’est pas nouveau, qu’est ce qui n’est pas absurde dans la guerre).

Bref loin de l’image « saltimbanqueste » de mon enfance les suisses me font désormais très peur, de plus, considérant les normes en vigueur et dans l’hypothèse d’un conflit me voila dans une position délicate de traitrise. Copuler avec l’ennemie n’étant pas tout à fait admis comme quelque chose de patriote.

J’attends néanmoins d’en apprendre plus sur cette population pour en tirer une quelconque conclusion, peut etre bien qu’un voyage s’impose. Envoyer moi vos dons, notre rédaction est tellement pauvre qu’elle aurait du mal à financé une soirée d’excès avec comme seul substance de « la villageoise ».

P.s ajout tardif et excuses, toutefois la lutte continue : Disons que cette fois-ci, et c’est tout à son honneur, la suisse ma trompé en m’envoyant un faux spécimen féminin qui n’est malheureusement indigène que de France.Toutefois intrigué par un tel déploiement d’énergies afin de brouiller les pistes ce n’est qu’avec plus de convictions que je m’attacherais à découvrir la vérité suisse, et je vous promets qu’un carnet carnet de voyage avec conclusions vous sera transmis d’ici quelque mois ou semaine.

en attendant peace

8 mai 2009

Mort aux lois, du sang plein les doigts.



Les lois ce meurent, malheureux lecteurs nos lois ce meurent. désemparé, d'ici je ne peut qu'observer le désastre. quelques semaines d'absence et me voila à genoux tentant désespérément de recoller les morceaux d'une aventure qui avait si bien démarrée; mais c'était sans compter sur ce qui fait qu'entre homme et femme ont est si différent. larme, sang, cheveux; notre blog est secoué par une guerre intestine pénétrant même la sphère du réel. Bref on ne ferme pas encore le rideaux mais nos envolé lyrique risque d'être moins régulière à l'avenir ( si elles l'ont été un jour ). Toutefois notre esprit prolifique en théorie, ne cesse, lui, de fonctionner. Donc pas de panique nous survivrons et vous vous délecterez de nos prochaine créations.
Ce post n'as donc aucune utilité autant pisser sur un hérisson; bonne soirée.

un nouvel article sur la puissance suisse est en préparation. Réécriture, relecture et conclusions, pour une nouvelle friandise peinturlurée. en attendant restez vigilant avec nos voisins francophones.

23 mars 2009

Le Stratagème des Aisselles.


Ce soir, je roule en Macintosh. Et Dieu, Lecteur, ou encore Maman, ne me jugez pas, car non, je n'ai pas fait le choix de cet "ordinateur". D'ailleurs, je n'y prend aucun plaisir. L'avantage est que celui-ci est portable et que je suis au chaud dans mon lit. Encore une fois j'attends le sommeil, mais ce salopard de juif ne vient pas, et je reste éveillé depuis 13h30 (heure de la tentative avortée de réveiller Mr Loose à coup de "I Like to Move It Move It").


Heureusement, pour combler mon énervement, une douce odeur fermière est venue ce soir se glisser entre mes narines. Je crois reconnaître un animal, mais je doute. Parsambleu! Serait-ce bien elle? Mais oui, je veux y croire, ce n'est pas un coup de mes sens qui s'altèrent autant que les fesses d'un Bonobo connaissent de visiteurs. C'est bien la Chèvre. Celle qui me vient au nez cependant n'a pas l'air domestiquée. Non. C'est une chèvre sauvage, une coquine qui n'a jamais connue de bain. Je la cherche du regard et impossible de la trouver. Je soulève et pousse mes meubles à sa recherche, mais elle reste introuvable. Je parcours ma maison, et toujours je me heurte à son absence. J'en suis pourtant sur: elle me suit.


Ah, la juive! Elle m'a piégé! Ce n'était donc pas la peine de chercher bien loin. Elle se cachait sous mes aisselles.

Loin de me dégouter, cette odeur me plait, et je me sens bien là, dans mon lit, le nez imbibé de vapeurs d'acide 3-méthyle-2-hexénoïque (serait-ce le nom scientifique de la chèvre? peut être sera-ce le sujet d'un prochain article). Mais arrêtons de parler des animaux, et arrivons-en au vrai sujet, la Séduction Politique. Le titre de l'article ne ment pas, il parle bien de Stratagème des Aisselles.

Je m'adresse ici à tout ceux que l'hygiène fait rire/pleurer/répugne. Rassurez vous, vous n'êtes pas forcément des hippies, vous n'êtes pas non plus monstrueux, vous êtes juste humains. Ce débat pourrait continuer indéfiniment c'est pourquoi nous postulerons ici que j'ai raison. Vous êtes dans mon cas. Car chez nous, les Babouins, on nique à mort, et ce sans jamais, ou si peu, se laver. Nous subissons tous la société qui, beaucoup plus que de nous priver de certains acquis sociaux ou autres stupidités de hippie américain ou auto-stoppeur de toute sorte, nous force à nous laver. Qui a postulé que l'hygiène était une valeur positive? Un abruti certainement. C'est subir sans roncher les pressions de la société que de se laver. Car l'hygiène contraint, et cette contrainte permet d'appliquer des lois super connes sans que personne ne puisse lever le doigt. Si ceci vous semble tordu, lisez. Chers lecteurs, la vérité est affolante.

Petit indice: quelle est la période où chacun de vous passe ses journées à se préparer pour séduire une nana super bien gaulée avec des gros lolos et des fesses à en faire devenir blanc un esclave noir? Même chose pour les (je vais vomir avant d'écrire ce mot) femmes. Quelle est cette période où vous passez un quantité ignoble de maquillage pour faire naturelle ou catin selon les goûts et où après avoir agit de la sorte sortez vous pavaner devant des mâles beaufs se pavanant eux aussi (pas de sexisme, hommes ou femmes, ça se pavane) ? L'été bien sur. L'accablante chaleur réchauffant votre appétit sexuel et vous poussant alors devant ces torrents de transpiration à vous laver. Et c'est en cette période que massivement le gouvernement fait passer ses meilleures lois bêtes et méchantes! Ne nous leurrons pas.


L'été n'est peut être pas un complot, bien que j'en doute, les aisselles oui.


Une seule solution à tout cela, arrêter de se laver. Imaginez une rentrée de septembre où après s'être réveillé d'une cuite de deux mois estivaux couplés à de la séduction, rien n'aurait empiré! Cela apparait étrange, voire impossible. Si. Une seule solution à tout cela, arrêter de se laver. Alors, si le but final est si beau, presque céleste, à savoir l'égalité, pourquoi continuer dans cette supercherie qu'est l'hygiène?

Si vous voulez que les choses changent, cessez de vous laver. Vous trouvez ca bête? L'été vous serez "ready" pour empêcher les lois à la con, l'hiver, vous aurez une couche naturelle de crasse qui vous protègera du froid pour aller manifester. L'égalité ne tient pas à grand chose, finalement.

(Par contre, il faudrait songer à enfermer les roux, ou à les forcer à se laver. Leur transpiration pu vraiment trop pour leur faire profiter de l'égalité.)



12 mars 2009

"Ma trique elle matraque"




C’est seulement lorsque la fatigue m’anéantie qu’une petite partie de moi (anarco- resistante) décide d’écrire, s’en suivent, alors, 30 secondes de lutte et de matraquage intellectuel. ici point besoin de flash-ball même si l’affrontement est à la mesure de ce qu’ont pu vivre certains étudiants de Lyon lors d’une manifestation sauvage il y a de cela quelques jours. Drôle de logique tout de même (pour un flémard-cartésien dans mon genre) que de rester parqué devant un écran qui pique à déblatérer moultes conneries plutôt que de me lover sous mes draps en serrant de manière compulsive, faute de mieux, mon oreiller favori (à croire que le célibat ne me réussi pas).
Seulement voila, force est de constater que mes neurones sont en proie à d’étranges phénomènes de désorientations (je ne pourrai mettre en cause le régime alcoolisé que je leur impose) qui profite exclusivement au raisonnement par l’absurde.
L’absurde, poussant votre cher Mr loose à abandonner sont minable royaume virtuel (les lois du minimalisme ; et ouai vous vous amusiez avec des playmobiles, des lego toussa maintenant vous vous masturbez et fantasmez sur les sims et votre cercle d’amis tandis moi, moi, moi je n’ai plus besoins de substitues) Pour un bain chez les hippies, les utopistes, les réactionnaires, les nuisibles avec comme seul justification : la photographie et le désir de montrer quelque chose, n’importe quoi, un caca, une mouche, mais quelque chose.
Nous reviendrons plus tard sur le phénomène étrange de possession, d’abandons du contrôle de mon corps qui m’a, aujourd’hui, poussé à participer, plus ou moins activement, au mouvement étudiant. Plusieurs hypothèses peu convaincantes me viennent à l’esprit, nous en discuterons ne vous inquiétez pas.




Bref devant bibi pleins de bonshommes en salopette bleu, c’est pas banale pour un lundi surtout qu’ils n’on pas l’air du genre bavard, de toute manière parler à des personnes casqué ma toujours déplus. C’est rigolo les grand rectangles de plexiglas que certain portent avec ce que l’on peut traduire comme de la fierté sur leur visage. Quelques uns fendent l’air à l'aide de chouettes bâtons tout noirs ; j’en veux un !; à y regarder de plus prêt ce n’est pas seulement , le vide qu’ils visent mais bien les crânes d’une bande de jeunes chevelus, hommes et femmes ils ne font aucune distinction, ce doit être ça la parité !
On voit rapidement aux plus actifs qu’ils aiment leurs métiers, prenez exemples bon sang !
Tiens en voila un à terre, un chevelus, c’est festifs les violences policières ; enfin quelques chose à ce mettre sous l’objectifs ! ; Dommage que je ne sois invité plus souvent, de toute manière je taperai l’incruste.
La fatigue me ronge et même si ce récit m’enchante autant que vous j’ai pour unique précepte d’écrire mes articles d’une traite, contrairement à mes camarades qui potassent les leurs durant des semaines (ce qui à pour seul effet de semer le trouble dans leur esprits, de fait ils en viennent, au repos, à douter du bien fondé de leurs articles ; ce qui est un comble pour un poublog comme celui-ci)
J’ai promis, plus haut, d’émettre certaines hypothèses quand à la disparition soudaine du contrôle de mes membres, qui, cette après midi, d’un accord solidaire et traitre, ce sont animés. Mains et pieds en direction des grilles du rectorat lyonnais.
L’hypothèse globale (empruntant au concept de mauvaise foie sartrien) étant que l’accumulation de gamma gt dans mon sang et la soudaine arrivé du printemps, provoquant chez moi des envies de contact avec le sexe opposé, ont réussi à déréglé une mécanique pourtant si bien huilé. N’étant, alors, plus qu’un homo economicus partiel ne pouvant mesurer la porté des mes actes sur le long terme et l’affront que m’selle dignité prendra un malin plaisir à me faire payer.

Trêve de tout, trêve de moi surtout. Je me pieute et vous aime, vous détestes. Généralement les mots sont grands mais avec ma verbe ils ne valent pas mieux que les charentaises de pépé, c’est déjà ça et sa me permettra sans doute de garnir, de ghb, le verre de mémé.

Message à ceux qui tiquent encore sur l’orthographe : « Le Français anarchiste de mon cerveau hermétique vous présentes ses vœux. »

19 févr. 2009

"La dictature du freeze" par le "pesto" medium (dans le sens voyant)


Dernièrement, Babouin (oui, celui qui corrige mes articles pour cause de génocide visible des règles de notre chère langue Française) m’a fait l’honneur de me rendre visite sur Lyon, comme une manière de remettre les pendules de ce blog à l’heure et nous mettre à l’œuvre. Pour tout vous avouer, cela tombait à merveille, mon emploi du temps s’étant miraculeusement aéré depuis que la population professoro étudianté c’est mise en tête de squatter nos rue.

Nos faubourg dégoulinant de liquide céphalorachidiens, de matières grise éclaté sur nos vitrines, de cette mixture visqueuse étalée sur nos pavés, bref il était temps d’inaugurer un nouveau pseudo week-end (en semaine) où il serait question de Zubrowka, de musique et de tabac.
Outre passant nos rencontre avec d’authentique autochtones, ce qui fût pour Babouin matière à surprise, nous ne pouvions clore cette étrange période sans développer encore et toujours quelque unes de nos théories.

Trêve d’introduction à rallonge comme une manière de grenader puis noyer le poisson, venons en au cœur d’une réflexion pas encore amorcée.

Prenez un peu de basilic, ajoutez quelque pignon de pin, de l’huile d’olive, de l’ail et du fromage râpé, pilonnez le tout fermement (n’hésitez pas à pousser jusqu'à à la sueur). Des gouttes de votre front suintant qui vous trouble la vue vous pouvez apercevoir que le mélange verdâtre devant vous n’est autre que du « pesto ».


Ha ! Le pesto, le compagnon fidèle de vos gueuletons italiens. Un mélange « subtil », « délicat » et j’en passe, qui donne aux pâtes, il faut bien le dire, un charisme à recaler votre moitié au rang d’objet de plaisir secondaire. Cette vérité sur le pesto n’est malheureusement pas universelle, surtout pour le pesto industriel qui, mal dosé, peut transformer votre bonheur en une atroce après-midi de souffrance intestinales réduisant l’homme pur et bon en un monstre d’insanités. Ce serais mentir si nous vous disions que nous avions fais cette sordide expérience rien que pour vous puisque le geste (maladroit) ne fût en rien prémédité.

De cette rencontre avec la mal bouffe, d’étranges révélations nous apparurent comme vérités absolues. Nous avons pour habitude (et vous ne vous en plaindrez pas) de vous mettre en garde contre certaines situations dangereuses. Ce jour là, ce fût clair, plus clair encore que votre crâne « calvitié » une nuit de pleine lune (ou ne serais ce votre arrière train ?). La dictature du « freeze »ou du « freeze mob » (un dérivée du flash mob) est en marche et elle avance à grande foulées. Ceci Grâce au "pesto" magique.

Jusqu'alors objet de loisir pour jeunes internautes et bobos en mal de nouveautés, ce mouvement est initié dés 2003 aux Etats-unis comme un manière de regrouper un maximum de personnes (aucun liens entres elles) afin d’effectuer une action éclair absurde dans un lieux public.

Vous connaissez notre penchant pour l’absurdité et ce genre de manifestation aurait très bien pus nous ravir, mais voila, premièrement je regrette de ne pas en être l'instigateur, deuxièmement, et c’est bien plus grave, ce genre de manifestations subites à pris un tournant politique, comme un moyens d’expression concrète envers les instances aux pouvoir, ce que certains analystes politique s’empresseront de voir comme une nouvelle modalité d’intrusion dans l’espace public (nous entendons espace public au sens de Kant revu et corrigé par Habermas).

Cette nouvelle dérive est imputée aux Français qui commencèrent à manifester ainsi contre le projet de lois dadvsi.
Confiants en nos compatriotes, il leur était décemment impossible de s'en tenir à ce coup d’éclat, et nous en fîmes les frais en cette journée de mal au bide.
Me voila sur la place Bellecour (le seul but de ma balade étant la fnac), téléporté au beau milieu d’une dizaine de personnes arborant masques et slogans silencieux (oui c’était marqué sur leurs habits) qui subitement stoppent leur démarchent et refusent de faire le moindre geste, toutes figées, en mimiques ridicules. Pris au dépourvue, l’estomac en feu, tel un un fauve traqué, sentant le piège se refermer (parce qu’eux ils savent que je fais parti de la population étudiante certains mon déjà croisé de ça et là ) je me résigne à en faire de même afin d’apaiser les soupçons. Ce rituel macabre durera pas moins de 4 min, 4 minutes d’horreurs guidée par une seule envie celle d’avoir une machine à guilli géante et leur en faire baver à ces insurgés jusqu'à ce qu’ils en pleurent du sang en riant aux éclats.


Ainsi n’acquit la théorie de la dictature du « freeze » qui, pour toi lecteur assidue et surdoué est aisée à deviner, je ne vais donc pas te prendre plus de temps,

Quoique je m'en sens tout à fait d'humeur.
"Dictature", un de ces mots qui réveille l'instinct de survie sommeillant en chacun de nous, au même titre que "Jean-luc-de-la-rue" ou "chantale goya".
Tremblez mes chère bipède, tremblez tant que vous le pouvez encore. Bientôt, surgie de nul part, des foules, toujours plus imposante, de Freeze(wo)man, engorgerons vos rues, vos hall d'immeuble, vos dines, pour ne plus bouger, même votre chat n'osera lever la patte. Bientôt des villes entières immobilisés par la peur de faire le moindre pas ! Bientôt tu seras "hasbeen" si tu n'en est pas.
Lentement, pernicieusement, s'installera alors la dictature du freeze. Les temps de pose serons de plus en plus long. Chaque soir davantage tes muscles te ferons mal ! Certains craquerons et il n'y aura personnes pour les sauver (Le monde sera en pause)!
Finalement de fatigue tu trépasseras!
Ainsi notre destin est scellé, seul, nous reste encore, pour notre salue, ce bon vieux "libre arbitre" qui déclencha en son temps de nombreuse querelles intestines chez nos amis théologiens mais certainement pas autant que la saint Valentin.

Message de circonstance et d'amour:

Je te hais toi qui n’ose poser, de tes doigts grassouillets, la prose salutaire récompensant notre travail de bête sur les commentaires

Je te hais bobo underground qui souille notre page, faisant d’elle un sanctuaire à purin.

Je te hais enfin lecteur lambda qui ne nous envois jamais un seul pecos pour l’intérêt que nous t’apportons, toi lecteur normal dont la vie n’est pas rose, ni bleu, ni grise, toi lecteur pour qui nous faisons tant d’effort.

Love !



Harrtiqle Reuhfu et cauriché par Lluqua Pthadophan.

12 févr. 2009

De La Pensée sous Zubrowka, ou le Sida Russe.

Après quelques jours, voire semaines d'absence et des découvertes dues en partie à la Zubrowtarte Tatin, revoilà le célèbre Babouin. Ce soir, il sera question de divertissement.

En ces temps de crise économique (je ne vais pas m'y aventurer, Mr Loose en parle décidément mieux que personne sur terre), un peu de rigolade, de super jeu entre amis ne nous ferez pas de mal. C'est pourquoi j'ai décidé de vous présenter un petit moyen de se fendre la poire facilement.

Le divertissement dont je vous parle ici, ce petit jeu plus rigolo qu'une soirée Wii entre ami (dieu merci, car ce pauvre virus qu'est la dernière Nintendo ne nous réserve aucune surprise), c'est le SIDA Russe. "Quoi ça !" vous dites vous devant votre ordinateur, bouche(s) bée(s), si surpris que vous êtes avec ce fameux SIDA de Dostoievski.

Procédons aux explications. Vous connaissez à l'évidence la roulette Russe. Pour ceux qui n'en ont pas entendus parlé et surtout pour rajouter quelques lignes à cet article, je vais allumer votre lanterne. La roulette Russe n'a aucun rapport avec les caravanes (et je m'en excuse auprès des fans de Seth Gueko) mais il est ici évidemment question du machin avec les flingues. Pour faire court, car je n'ai pas envie de faire long, une balle est placée dans un chargeur de revolver 6 coups. On fait tourner ce chargeur puis l'on tire. Il y a une chance sur 6 de mourir. C'est souvent une méthode pour faire parler dans la Mafia.

Et là, encore une fois pour vous, c'est la stupeur (je vous évite les tremblements, et j'enterre Amélie Nothomb). "Mais que fait ce Babouin?" vous demandez vous, que fait-il et pourquoi nous parle-t-il de Mafia dans un article sur le divertissement? Voyez que c'est assez simple.

En effet, la roulette russe, qui est une barbarie pour certains, est un jeu pour d'autre et de par ce fait nous pouvons analyser ceci. Rapidement, comment retirer de l'amusement à la probalité de mort? C'est simple: cela, Kierkegaard l'appelle "l'éternité concrète". Et le rouletteur russe du Dimanche comprend Rousseau (qui lui-même dit "Mieux vaut une journée depassion qu'une année de raison") et l'autre pauvre Danois. Mais, pour se rapprocher un peu plus du sida Russe, prenons la pensée de Arthur Schopenhauer maintenant.

"Toute satisfaction est une déception reconnue". Il faut comprendre à cela que la satisfaction nous amène la souffrance. En effet, bien que le bonheur soit présent dans cette satisfaction, il est d'une part de gâteau court, et d'une autre une porte à l'ennui. De fait, après une émotion forte, on ressent le besoin de la prolonger mais c'est difficilement atteignable et donc, on s'ennuie.

Pour arrêter de faire semblant d'être intelligent, continuons. Le but serait donc de prolonger
cette émotion de vie ou de mort. Et quoi le mieux que le sida! Je m'explique. Prenez 6 hommes nus, dont un est atteint du sida. Mettez les dans un square d'enfant (et vérifiez au préalable qu'ils ne soient pas pédophiles, les ennuis pourraient alors commencer et le jeu serait annihilé). Pour le choix du square, assurez vous d'en prendre un où il y a un tourniquet, qui fera office de roulette. Si besoin de vous divertir vous avez, vous jouerez le rôle du jeune con américain en manque de sensation (putain qu'il est long cet article). Vous placez vos 6 hommes nus sur le tourniquet, et vous les faites tourner. Placez vous devant le tourniquet et attendez que celui-ci s'arrête. Devant vous il y aura un de vos 6 hommes de compagnie tout nus. Celui-ci va procéder, avec votre joyeux consentement, à une sodomie dont votre rôle sera la passivité. Et c'est là qu'intervient l'amusant!

Car oui, ce moment court où avec le revolver l'on se demandait "vais-je mourir?" se prolonge ici (dans le cas où vous êtes tombé sur le sidéen) en "ais-je le sida, y a-t-il des chances alors que je survive, que j'ai des enfants, ou seulement qu'une femme m'accepte, ma vie est-elle ruinée?".

Aprés écriture, cette idée qui me paraissait rigolote est en fait glauque. Mais peu importe! Car, à part si vous êtes un jeune con américain qui sait pas quoi faire, vous n'êtes pas concernés.

Oh et puis merde, j'ai eu cette idée un lendemain de cuite, j'étais fatigué et surtout il fallait tuer le temps jusqu'à trouver le sommeil.

A mort la chanson Française, tous ces pédés appellent leur père au moindre petit incident. Je les hais.

20 janv. 2009

Annonce


Vend chèvre en bon état général, très peu usée. Kendoka s'abstenir.

17 janv. 2009

[Garces et hippies]


Bon, je me dois de vous prévenir : la lecture de cet article risque d’être fort fastidieuse (davantage qu’a l’accoutumé). Totalement shooté au paracétamol, (on fait avec ce qu’on à sous la main) un peu fiévreux, que de cadavres autour de moi, mouchoirs et PQ (c’est le dernier recours après l’épuisement des taschentur). De ce bureau noir, de petits monticules blancs, dégoulinant de morve, émergent. Bienvenue dans l’horreur de ma soirée. Bref si vous êtes peu motivée par de la lecture et par un travail de méninges passez votre chemin.
Venons en au fait, à cette révélation cauchemardesque qui ma porté hors de mon lit, de ses draps, de son confort. Bien plus horrible encore que ma (il faut bien le dire) pauvre condition actuelle. Cette révélation (n’y voyez là aucun rapport de corrélation entres mon addiction momentanée au paracétamol et ma fièvre) qui, finalement, débute avec un constat simple et logique.

Nous allons parler de l’underground, de la contre-culture et surtout des plus morbides créatures qui soit. Ne vous y trompez pas, malgré leur apparence humaine, radieuses, enjoué… sommeille en eux ce qui nous a valut les pires atrocités tout temps confondus, TROY, la religion, les croisades, l’humanisme, les sectes.
De ces sentiments que les stoïciens intégristes fuient comme la peste il en est un qui produit le plus de désastres, L’AMOUR. Cicéron ou Epictète déjà nous mettait en garde contre l’irrationalité de ce sentiment porté (dans l’apogée de la passion), par un érotisme pathologique.
Dépassons l’antiquité pour revenir à nos moutons : Les pavés éclatent sur les boucliers des forces d’interventions de toutes régions occidentales du globe, nous sommes dans les années 60 et c’est toute une population adolescente et pré-adulte qui s’insurge, s’organise autour d’idées d’un humanisme porté jusqu'à son paroxysme et surtout son absurdité.
Les hippies sont nés, le regard agar, imbibé de choses qui vous ramonent bien plus que de l’ibuprofène, utopistes aveugles, dispensant à l’humanité des messages d’amour et de paix.
Première contradiction, l’amour est l’antithèse de la paix, d’où mon introduction sur les stoïciens. Je m’explique, théoriquement, c’est « l’amour », ou du moins la passion et toute la palette de sentiments tel que la convoitise qui en découle qui a fait vaciller bien des civilisations. N’as t’on pas engager un massacre à Troy pour l’amour d’une Hélène ou envoyer s’écraser deux avion en plein Manhattan pour l’amour d’un dieu ?
Bon, vous avez compris le raisonnement… Or cette bande d’idéalistes chevelus avait trouvé certaines solutions en guise de verrou, tel que le pacifisme ou la drogue, qui permettaient de se défaire de certaines responsabilités.
De çà et là, les communautés ont poussé comme des champignons. L’Etat de nature qui y régnait en à rendu plus d’un totalement fou. L’amour libre!, vaste connerie, qui faisait appel à l’autocensure des sentiments plus que d’une réelle ouverture d’esprit. Justement l’amour déchaines les passions! Combien ont dû éprouver ce sentiment commun celui de la jalousie. Sentiments poussé à l’extrême, contrôlé, de fait, pas la prise de palliatifs (drogues etc) et enfin par ce fameux refoulement. On peut finalement observer que ce type de communautés n’a pas vraiment fonctionné, fatalement certains, d'entre eux sont devenus par la suite de grand conservateurs.

Bref ce qui se trame aujourd’hui (vision médicamenteuse) c’est la résurrection, et l’apparition d’un mouvement néo-hippie d’ampleur. La conjecture est plutôt bonne. Sur fond de crise, d’anniversaire et (re)découvertes des années flower power.
C’est vrai, vous me direz, que les années 60 furent des périodes de croissance, mais nous étions toutefois dans une crise de repères. Pour une partie de la population la convention ne faisait plus sens.
Ce qui démarre aujourd’hui avec l’économie va rapidement être suivie part une crise idéologique, tant les liens entre ces deux sphères sont confidentiels.
Ainsi méfiez vous des élans d’amour, des câlins gratuits, il se pourrait bien qu’un jour ou l’autre votre vie soit mise en danger par ces néo-hippies, ce jour là, et c’est tout mon plaisir, vous penserez à moi et à Cicéron.
Comme dirais Paka : die hippie Die !
Cet article doit faire de moi le nouveau Charles Maurras du blog, je m’en réjouis, bien que je ne porte pas une grande estime à sa pensée et ses écrits

Orthographe/Grammaire/Conjugaisons approximativement corrigés par Lyukla Pfadcofvan.

14 janv. 2009

CANARD ACTU/Parce que c'est la mode des nouveaux messages




Parce que j’ai de nouveau le temps, que ces maudits partiels sont bientôt finis et parce que si on me le demandais (en l’occurrence même si on ne me le demande pas) je répondrais sans sourciller, ni même réfléchir, à l’ultime question : qu’est ce que pour vous un journal de qualités ? Qui de cette masse de papiers griffonnés, chiffonnés, froid, glouton d’actualité et de politiques serais le plus représentatif de vos idées ? Celui qui tel un messie éclaire votre chemin dans ce monde de ravagés, d’hippies idéalistes, d’hippies socialistes, d’hippies de gauche et de droite, d’hippies mendiants et d’hippies présidents ou tout simplement chef d’entreprise, ce monde inondés par le vomie de vieux hippies 68ards. (Comme quoi on est tous hippie sans le savoir et que de s’en prendre aux 68ards reste toujours aussi délectant). Bref qui de Charlie hebdo, du figaro, du canard enchainé ou de l’humanité, de libération, du point, du Dauphiné et DU Grand et pompeux « Le monde » (parce qu’il sais ce faire jaser un max celui-là), du courrier international, du Vaucluse matin et j’en passe peut s’octroyer le titre de papier le plus éclairé, le plus fin, le plus drôle, le plus libre et de tout un carton d’adjectifs tous plus élogieux les uns que les autres. Mais qui donc ? Cela tiens en deux mots, cela tiens en un jeu de mot. « CANARD PC ».
Vous allez dire que l’on vous parle encore de canard !
Oui mes braves ! Oubliez les fillettes, omelettes, arrivistes, gauchistes, jemenfoutistes qui pullulent au sein des rédactions de nos journaux nationaux. Oubliez la langue de bois, le travail de perroquet de l’afp (agence France presse). Oubliez même votre mémé si cela vous chante. Ne retenez que notre canard ; Du rire, du journalisme totale qui n’a pas froid aux yeux, des monstres de littérature, des jeux video, du recul, du bonheur merde ! Seulement du bonheur et toujours du bonheur.
Je suis presque déçu par le pauvreté de mon argumentaire, tout ceci est en deçà de ce que vous trouverez chez CANARD PC . Et finalement ce n’est pas plus mal, cette objet mérite seulement d’être lu, manger puis digéré. Utilisez-le comme bon vous semble mais découvrez le d’abord.


Vous pouvez donc le retrouvez chez tous vos marchand de journaux préféré chaque semaine le mercredi youpi et sur internet bha clique sur le titre : Canard Pc
Illustration Couly, pour canard Pc, vous me direz qu'est ce que fous un lapin dans un canard, Justement la philosophie ne notre canard est toute incorporé dans les méandres de l'image je m'emporte.



P.S : Pour ceux qui ont remarqué que notre espace à torchons prenait des allures de blog ne vous inquiétez pas nous ne sommes pas piratés, inutile d’appeler la dgse. Seulement voila nous avons acceptés une demoiselle dans notre groupe, sympathique au demeurant elle n’en reste pas moins une femme et les femmes ( à croire qu’il y a vraiment un rapport congénital et hormonal) ne peuvent s’empêcher de faire le ménage lorsqu’elle foule de leur tout petits pieds délicats le sol totalement crasseux d’une maisonnée de jeunes hommes parfaits. La preuve en est donnée ici, mais on l’aime bien notre nouvelle qui n’est pas si fraiche que cela puisqu’elle est aussi alyss, celle des débuts. Elle nous fais rire (surtout qu’elle nous donne l’impression que les acides c’est le bien) et c’est toujours bien d’avoir dans sa poche une représentante de l’autres bord lors de négociations plutôt musclées. Bref profitez de ses articles, tant qu’elle nous supporte.

9 janv. 2009

Canard, va au coin.

Je n'ai pas peur de le dire, je suis homosexuel. Et je n'ai pas non plus peur de le dire, je hais les femmes. Elle sont bêtes, elles ont des seins, et une absence trop visible de zizi (bien que, m'a dit un jour Lauren Bernard, "mon clitoris fait 15 cm, je l'ai lu dans Marie Claire"...). Et quand je vois qu'une fille de sexe féminin écrit sur ce blog, ca me donne des envies d'écrire!

C'est donc pourquoi je me retrouve ici attendant un ami qui devrait normalement venir me chercher.

Je suis de plus en plus confronté à des bizarreries ces temps ci, et n'ayant pas pu écrire l'article sur D-War, je persiste, signe, et écris sur autre chose. Salaud de Faucon.

C'est aujourd'hui de Canard que nous allons parler. Celui-ci est, et personne ne me contredira ici, un animal fascinant. David Bowie a d'ailleurs écrit sur cet animal et même composé ("Strange Fascination" ndlr). Un animal intriguant qui passe ses journée dans l'eau à, quand il a la (mal)chance d'être entouré d'humains, manger du pain.

Et il faut croire que même la science s'intéresse à cet animal. En dehors de l'étude du son comportement, la découverte de plusieurs de ses sortes, ou son utilisation dans le langage populaire ("Hey canard, Coin ?"), un autre aspect de notre Drag-Coin à passioné les scientifiques, ou plutôt un, Jacques de Vaucanson, c'est celui du système digestif. Jusque là rien d'étonnant, et je le concède, puisque après tout, ca peut être une curiosité comme une autre. Mais Jacques ne s'est pas arrêté là.

Oh, si seulement sa passion pour le canard s'arrêtait là, tout serait resté comme c'était, et le monde n'aurait pas changé d'un poil. Mais la vision révolutionnaire de la science comme la voyait Jacques de Vaucanson n'avait pas de limite, et c'est ainsi qu'est né le Canard Digérateur.

Cette géniale invention avait pour but de reconstituer un canard. C'était un automate, et, pour l'époque, un sacré progrès mécanique. Mais Jacqui voulait impressionner les demoiselles, Jacqui voulait prouver au monde que la France roxxait da wourld. En plus de l'automate, il eut l'idée du siècle: "Dieu! Pourquoi me contenter de faire bouger un canard en fer alors que je pourrais tout aussi bien le faire digérer des aliments et lui faire faire caca aprés!". C'est ainsi que nait le Canard Digérateur.

Plus encore qu'un progrès scientifique, cette découverte nous pose de nombreux problèmes.

Pourquoi vouloir recréer du caca de canard. Une explication nous vient tout de suite: c'est très rigolo de dire "Caca de Canard". Mais celle-ci est bien trop bête.

Nous pouvons encore imaginer que, de par ce projet de compréhension du système digestif du Canard, Queja (Jacques en verlan pour les gens qui n'auraient pas compris) a peut être voulu appréhender un nouvel aspect de la science pour son époque et en comprenant ce système le reproduire sous forme de prothèses pour Canard et donc sauver des milliers de Canards. Mais dans quel but? Réduire l'espèce humaine à néant, anihiler notre domination et instaurer une dictature de Canard dans laquelle Jacques de Vaucanson aurait un poste bien placé. Bien que tirée par les cheveux (ou par LE cheveux si vous être dans cas moi) cette explication reste la plus plausible (bien que Mr Cosenza me dit Mr Faucon opterait plutôt pour une domination des chiens).

Jacques Vaucanson était-il un Canard ?


Je ne sais pas.

1 janv. 2009

D-nanar! heu.. Nanar!!! (Ce que la mondialisation nous à permis de voir.)


(Photo volée du realisateur: Droopy)

Rare se font nos articles en ces temps de "joyeusetés". Pourtant ce ne sont pas les sujets qui manquent entre paranoïa collective sur fond de crise économique majeure (merde j'en ai parlé) ou encore le proche orient qui sous nos lumières pourrait vous paraître plus sympathique. Le Monde, ce vieil ermite, part en vrille, si vite qu'il ne nous donne même plus le temps d'écrire (lorsque l'on voudrait parler du développement des systèmes de surveillance sur la population v'la tit pas qu'il y en un qui balance sa babouche en pleine figure de notre bientôt regretté W. (sans doute l'un des homme le plus drôle de notre temps) de sorte que l'on fini par ne plus rien écrire du tout, reniflant déjà les effluves d'un produit plus bien frais).

Bref, 2009, traditionnellement, se devait tout de même d'être souligné.

Nous ne vous cacherons pas que pour vous, nous nous sommes mis dans le bain sans attendre et quoi de mieux pour donner le ton qu'un fabuleux nanar gros budget qui restera, a n'en pas douter (oubliez les commentaires relativistes sur la subjectivité ici tout n'est qu'universalité), l'un des 10 films cultes de notre siècle au même titre que Plan 9 from Outer Space d'Ed Wood, une référence pour les générations futures (s'il y a). Bon, j'ai tout de même la flemme de faire monter la sauce en figures de style et autres jeux de langue. Pas de suspense, ce chef d'œuvre se voit donc affublé d'un joli sobriquet : "D-WAR" pour "Dragon-war" (en fr: la guerre des dragons), parce que la contraction est plus vendeuse pour le marché occidental et surtout parce que le titre originel en coréen semblait donner quelque irritations au niveau du colon.

Pour faire simple c'est une production sud-coréenne écrite et dirigée par Shim-hyung-rae (nous pensons toutefois que c'est un nom d'emprunt, ce mystérieux personnage ne serait autre que Droopy, le chien de Babouin, tant son activité lors de notre séance en blu-ray se confondait avec celle d'un réalisateur lors d'une projection test, scrutant inlassablement les réactions de la populasse en train de faire de sa création un chef-d'œuvre).




Et quel chef d'œuvre!!!

L'exercice peut paraitre compliqué mais le résultat se mesurera au delà de vos espérances. Essayez donc d'abandonner ce qui fait de vous un occidental, une personne sensée et rationnelle, ou tout simplement un Homme. Combattez avec fougue l'appel au bon sens, à la logique et à votre instinct de survie. D-war ne s'apprécie réellement que lorsque le néant s'empare de votre esprit (certains y arrivent plus facilement grâce à l'absorption de drogues plus ou moins licites, toutefois cette pratique reste dangereuse tant le contrôle de votre esprit - Moi, Surmoi et Ca - reste vital pour votre santé mentale - présente et future). Autant dire qu'un ou deux jour de congés à la suite de cette expérience pourraient bien être utiles tant la descente est éprouvante (vous excuserez donc mes égarements de langue, voilà quelque heures que la projection est terminée, toutefois l'effet ne se dissipe que très lentement).

Mais quelles expérience mes enfants! Je tricherai en vous disant que ce n'est que notre premier rapport avec le monstre. A vrai dire nous avions déjà eu l'occasion de lui conter fleurette en l'emmenant gentiment dans un endroit sombre et tranquille il y a de cela quelques mois. Mais nous gardions nos impressions pour une occasion toute particulière (celle de son édition en blu-ray par exemple).

Passons au scénario qui, tout en étant une perle, soit n'existe pas, soit fût dévoré par la soif de vengeance d'un monteur mécontent (contre ce pauvre Droopy). On ne se mouille pas vraiment en pensant que ce sont les deux hypothèse à la foi qui risque d'être vérifiés.

Nous n'en dirons pas trop pour ne pas vous gâcher le plaisir mais sachez, sans quitter l'esprit du pitch de la pochette, que ce film part sur les trace d'une légende Coréenne qui veut que, tous les 500 ans, deux serpent géants (gentil/mechant; ying/yang; sel/poivre; pomme/poire) se disputent une jolie demoiselle humaine qui détient le pouvoir d'en transformer un en dragon. Or cette fois-ci , en 2007, (j'en vois qui se dissipent !) cette jeune fille se retrouve réincarnée sous les traits d'une potiche de Los Angeles (jouée par une actrice qui ne nous étonnerait pas si elle avait un passé dans le porno tant son jeu est inexpressif - tout comme la plupart des acteurs, la palme revenant à une figurante d'un certain âge).

Tout ceci ne présage rien de bien bon pour la ville de Los Angeles et ses habitants qui vont devoir subir les attaques d'un serpent géant et d'une armée de clones (pompée sur "Le Seigneur des Anneaux" autant d'uruk aie en carton - excusez l'orthographe) aux bestioles tirées d'une scène des "épisodes 1 et 2" de Star wars tendis que nous nous retrouvons avec Godzilla lors des affrontements.

Mais la culture de notre "Droopy international" ne s'arrête pas ici et les références sont légions à faire pâlir les plus grand plagiaires Chinois et Turc (ne pas rater "turkish star wars" sur nanarland).

Terminons par une bande d'annonce de mis en bouche sur votre prochaine consommation.
Si vous ne l'avez pas aperçu au cinéma en France malgré son grand succès au Etat-unis et en Corée (plus grand succès de 2007) c'est qu'une seule projection à eu lieu lors, attention, du festival de Cannes (ce qui n'entache en rien notre opinion sur cette effusion d'auto-masturbation incestueuse tout ceci n'ayant rien avoir avec la qualité des production présentées).

Jetez vous sur votre vidéo-club favori (nous n'encourageons pas le téléchargement illégal de productions "culturelles", quoi que l'on puisse discuter cette notion, toutefois ceci reste de votre ressort, les bourses étant toutes petites en cette fin d'année suite au fête et au déboires de la crise).



D War trailer

envoyé par bodom42

Même la bande d'annonce vaut le coup!! en voici une disons, moins... coréenne.

Dragon war (d-War)
envoyé par bandesannonces


Parfois même certaines répliques frisent la lucidité par des: "C'est absurde!" tout comme la dernière bande annonce qui nous dit que ce film est/recèle "quelque chose d'inexplicable" (à noter les commentaires sur dailymotion qui sont somptueux, comme quoi les asiatiques n'ont pas le monopole du mauvais goût.)

Bien à vous et bonne fin de vacances.

Des faux raccords, un montage, une narration, des effets speciaux magiques pour un film magique qui remporte tous nos suffrages au même titre (mais pas dans le même catégorie) que "Voyage au bout de l'enfer" (Deer Hunter) de Michael Cimino et ce n'est pas peu dire!!!

Article ponctué et traduit du Français anarchiste de Mr. Loose au Français plus Français par Babouin L'Oiseau.