20 janv. 2009

Annonce


Vend chèvre en bon état général, très peu usée. Kendoka s'abstenir.

17 janv. 2009

[Garces et hippies]


Bon, je me dois de vous prévenir : la lecture de cet article risque d’être fort fastidieuse (davantage qu’a l’accoutumé). Totalement shooté au paracétamol, (on fait avec ce qu’on à sous la main) un peu fiévreux, que de cadavres autour de moi, mouchoirs et PQ (c’est le dernier recours après l’épuisement des taschentur). De ce bureau noir, de petits monticules blancs, dégoulinant de morve, émergent. Bienvenue dans l’horreur de ma soirée. Bref si vous êtes peu motivée par de la lecture et par un travail de méninges passez votre chemin.
Venons en au fait, à cette révélation cauchemardesque qui ma porté hors de mon lit, de ses draps, de son confort. Bien plus horrible encore que ma (il faut bien le dire) pauvre condition actuelle. Cette révélation (n’y voyez là aucun rapport de corrélation entres mon addiction momentanée au paracétamol et ma fièvre) qui, finalement, débute avec un constat simple et logique.

Nous allons parler de l’underground, de la contre-culture et surtout des plus morbides créatures qui soit. Ne vous y trompez pas, malgré leur apparence humaine, radieuses, enjoué… sommeille en eux ce qui nous a valut les pires atrocités tout temps confondus, TROY, la religion, les croisades, l’humanisme, les sectes.
De ces sentiments que les stoïciens intégristes fuient comme la peste il en est un qui produit le plus de désastres, L’AMOUR. Cicéron ou Epictète déjà nous mettait en garde contre l’irrationalité de ce sentiment porté (dans l’apogée de la passion), par un érotisme pathologique.
Dépassons l’antiquité pour revenir à nos moutons : Les pavés éclatent sur les boucliers des forces d’interventions de toutes régions occidentales du globe, nous sommes dans les années 60 et c’est toute une population adolescente et pré-adulte qui s’insurge, s’organise autour d’idées d’un humanisme porté jusqu'à son paroxysme et surtout son absurdité.
Les hippies sont nés, le regard agar, imbibé de choses qui vous ramonent bien plus que de l’ibuprofène, utopistes aveugles, dispensant à l’humanité des messages d’amour et de paix.
Première contradiction, l’amour est l’antithèse de la paix, d’où mon introduction sur les stoïciens. Je m’explique, théoriquement, c’est « l’amour », ou du moins la passion et toute la palette de sentiments tel que la convoitise qui en découle qui a fait vaciller bien des civilisations. N’as t’on pas engager un massacre à Troy pour l’amour d’une Hélène ou envoyer s’écraser deux avion en plein Manhattan pour l’amour d’un dieu ?
Bon, vous avez compris le raisonnement… Or cette bande d’idéalistes chevelus avait trouvé certaines solutions en guise de verrou, tel que le pacifisme ou la drogue, qui permettaient de se défaire de certaines responsabilités.
De çà et là, les communautés ont poussé comme des champignons. L’Etat de nature qui y régnait en à rendu plus d’un totalement fou. L’amour libre!, vaste connerie, qui faisait appel à l’autocensure des sentiments plus que d’une réelle ouverture d’esprit. Justement l’amour déchaines les passions! Combien ont dû éprouver ce sentiment commun celui de la jalousie. Sentiments poussé à l’extrême, contrôlé, de fait, pas la prise de palliatifs (drogues etc) et enfin par ce fameux refoulement. On peut finalement observer que ce type de communautés n’a pas vraiment fonctionné, fatalement certains, d'entre eux sont devenus par la suite de grand conservateurs.

Bref ce qui se trame aujourd’hui (vision médicamenteuse) c’est la résurrection, et l’apparition d’un mouvement néo-hippie d’ampleur. La conjecture est plutôt bonne. Sur fond de crise, d’anniversaire et (re)découvertes des années flower power.
C’est vrai, vous me direz, que les années 60 furent des périodes de croissance, mais nous étions toutefois dans une crise de repères. Pour une partie de la population la convention ne faisait plus sens.
Ce qui démarre aujourd’hui avec l’économie va rapidement être suivie part une crise idéologique, tant les liens entre ces deux sphères sont confidentiels.
Ainsi méfiez vous des élans d’amour, des câlins gratuits, il se pourrait bien qu’un jour ou l’autre votre vie soit mise en danger par ces néo-hippies, ce jour là, et c’est tout mon plaisir, vous penserez à moi et à Cicéron.
Comme dirais Paka : die hippie Die !
Cet article doit faire de moi le nouveau Charles Maurras du blog, je m’en réjouis, bien que je ne porte pas une grande estime à sa pensée et ses écrits

Orthographe/Grammaire/Conjugaisons approximativement corrigés par Lyukla Pfadcofvan.

14 janv. 2009

CANARD ACTU/Parce que c'est la mode des nouveaux messages




Parce que j’ai de nouveau le temps, que ces maudits partiels sont bientôt finis et parce que si on me le demandais (en l’occurrence même si on ne me le demande pas) je répondrais sans sourciller, ni même réfléchir, à l’ultime question : qu’est ce que pour vous un journal de qualités ? Qui de cette masse de papiers griffonnés, chiffonnés, froid, glouton d’actualité et de politiques serais le plus représentatif de vos idées ? Celui qui tel un messie éclaire votre chemin dans ce monde de ravagés, d’hippies idéalistes, d’hippies socialistes, d’hippies de gauche et de droite, d’hippies mendiants et d’hippies présidents ou tout simplement chef d’entreprise, ce monde inondés par le vomie de vieux hippies 68ards. (Comme quoi on est tous hippie sans le savoir et que de s’en prendre aux 68ards reste toujours aussi délectant). Bref qui de Charlie hebdo, du figaro, du canard enchainé ou de l’humanité, de libération, du point, du Dauphiné et DU Grand et pompeux « Le monde » (parce qu’il sais ce faire jaser un max celui-là), du courrier international, du Vaucluse matin et j’en passe peut s’octroyer le titre de papier le plus éclairé, le plus fin, le plus drôle, le plus libre et de tout un carton d’adjectifs tous plus élogieux les uns que les autres. Mais qui donc ? Cela tiens en deux mots, cela tiens en un jeu de mot. « CANARD PC ».
Vous allez dire que l’on vous parle encore de canard !
Oui mes braves ! Oubliez les fillettes, omelettes, arrivistes, gauchistes, jemenfoutistes qui pullulent au sein des rédactions de nos journaux nationaux. Oubliez la langue de bois, le travail de perroquet de l’afp (agence France presse). Oubliez même votre mémé si cela vous chante. Ne retenez que notre canard ; Du rire, du journalisme totale qui n’a pas froid aux yeux, des monstres de littérature, des jeux video, du recul, du bonheur merde ! Seulement du bonheur et toujours du bonheur.
Je suis presque déçu par le pauvreté de mon argumentaire, tout ceci est en deçà de ce que vous trouverez chez CANARD PC . Et finalement ce n’est pas plus mal, cette objet mérite seulement d’être lu, manger puis digéré. Utilisez-le comme bon vous semble mais découvrez le d’abord.


Vous pouvez donc le retrouvez chez tous vos marchand de journaux préféré chaque semaine le mercredi youpi et sur internet bha clique sur le titre : Canard Pc
Illustration Couly, pour canard Pc, vous me direz qu'est ce que fous un lapin dans un canard, Justement la philosophie ne notre canard est toute incorporé dans les méandres de l'image je m'emporte.



P.S : Pour ceux qui ont remarqué que notre espace à torchons prenait des allures de blog ne vous inquiétez pas nous ne sommes pas piratés, inutile d’appeler la dgse. Seulement voila nous avons acceptés une demoiselle dans notre groupe, sympathique au demeurant elle n’en reste pas moins une femme et les femmes ( à croire qu’il y a vraiment un rapport congénital et hormonal) ne peuvent s’empêcher de faire le ménage lorsqu’elle foule de leur tout petits pieds délicats le sol totalement crasseux d’une maisonnée de jeunes hommes parfaits. La preuve en est donnée ici, mais on l’aime bien notre nouvelle qui n’est pas si fraiche que cela puisqu’elle est aussi alyss, celle des débuts. Elle nous fais rire (surtout qu’elle nous donne l’impression que les acides c’est le bien) et c’est toujours bien d’avoir dans sa poche une représentante de l’autres bord lors de négociations plutôt musclées. Bref profitez de ses articles, tant qu’elle nous supporte.

9 janv. 2009

Canard, va au coin.

Je n'ai pas peur de le dire, je suis homosexuel. Et je n'ai pas non plus peur de le dire, je hais les femmes. Elle sont bêtes, elles ont des seins, et une absence trop visible de zizi (bien que, m'a dit un jour Lauren Bernard, "mon clitoris fait 15 cm, je l'ai lu dans Marie Claire"...). Et quand je vois qu'une fille de sexe féminin écrit sur ce blog, ca me donne des envies d'écrire!

C'est donc pourquoi je me retrouve ici attendant un ami qui devrait normalement venir me chercher.

Je suis de plus en plus confronté à des bizarreries ces temps ci, et n'ayant pas pu écrire l'article sur D-War, je persiste, signe, et écris sur autre chose. Salaud de Faucon.

C'est aujourd'hui de Canard que nous allons parler. Celui-ci est, et personne ne me contredira ici, un animal fascinant. David Bowie a d'ailleurs écrit sur cet animal et même composé ("Strange Fascination" ndlr). Un animal intriguant qui passe ses journée dans l'eau à, quand il a la (mal)chance d'être entouré d'humains, manger du pain.

Et il faut croire que même la science s'intéresse à cet animal. En dehors de l'étude du son comportement, la découverte de plusieurs de ses sortes, ou son utilisation dans le langage populaire ("Hey canard, Coin ?"), un autre aspect de notre Drag-Coin à passioné les scientifiques, ou plutôt un, Jacques de Vaucanson, c'est celui du système digestif. Jusque là rien d'étonnant, et je le concède, puisque après tout, ca peut être une curiosité comme une autre. Mais Jacques ne s'est pas arrêté là.

Oh, si seulement sa passion pour le canard s'arrêtait là, tout serait resté comme c'était, et le monde n'aurait pas changé d'un poil. Mais la vision révolutionnaire de la science comme la voyait Jacques de Vaucanson n'avait pas de limite, et c'est ainsi qu'est né le Canard Digérateur.

Cette géniale invention avait pour but de reconstituer un canard. C'était un automate, et, pour l'époque, un sacré progrès mécanique. Mais Jacqui voulait impressionner les demoiselles, Jacqui voulait prouver au monde que la France roxxait da wourld. En plus de l'automate, il eut l'idée du siècle: "Dieu! Pourquoi me contenter de faire bouger un canard en fer alors que je pourrais tout aussi bien le faire digérer des aliments et lui faire faire caca aprés!". C'est ainsi que nait le Canard Digérateur.

Plus encore qu'un progrès scientifique, cette découverte nous pose de nombreux problèmes.

Pourquoi vouloir recréer du caca de canard. Une explication nous vient tout de suite: c'est très rigolo de dire "Caca de Canard". Mais celle-ci est bien trop bête.

Nous pouvons encore imaginer que, de par ce projet de compréhension du système digestif du Canard, Queja (Jacques en verlan pour les gens qui n'auraient pas compris) a peut être voulu appréhender un nouvel aspect de la science pour son époque et en comprenant ce système le reproduire sous forme de prothèses pour Canard et donc sauver des milliers de Canards. Mais dans quel but? Réduire l'espèce humaine à néant, anihiler notre domination et instaurer une dictature de Canard dans laquelle Jacques de Vaucanson aurait un poste bien placé. Bien que tirée par les cheveux (ou par LE cheveux si vous être dans cas moi) cette explication reste la plus plausible (bien que Mr Cosenza me dit Mr Faucon opterait plutôt pour une domination des chiens).

Jacques Vaucanson était-il un Canard ?


Je ne sais pas.

1 janv. 2009

D-nanar! heu.. Nanar!!! (Ce que la mondialisation nous à permis de voir.)


(Photo volée du realisateur: Droopy)

Rare se font nos articles en ces temps de "joyeusetés". Pourtant ce ne sont pas les sujets qui manquent entre paranoïa collective sur fond de crise économique majeure (merde j'en ai parlé) ou encore le proche orient qui sous nos lumières pourrait vous paraître plus sympathique. Le Monde, ce vieil ermite, part en vrille, si vite qu'il ne nous donne même plus le temps d'écrire (lorsque l'on voudrait parler du développement des systèmes de surveillance sur la population v'la tit pas qu'il y en un qui balance sa babouche en pleine figure de notre bientôt regretté W. (sans doute l'un des homme le plus drôle de notre temps) de sorte que l'on fini par ne plus rien écrire du tout, reniflant déjà les effluves d'un produit plus bien frais).

Bref, 2009, traditionnellement, se devait tout de même d'être souligné.

Nous ne vous cacherons pas que pour vous, nous nous sommes mis dans le bain sans attendre et quoi de mieux pour donner le ton qu'un fabuleux nanar gros budget qui restera, a n'en pas douter (oubliez les commentaires relativistes sur la subjectivité ici tout n'est qu'universalité), l'un des 10 films cultes de notre siècle au même titre que Plan 9 from Outer Space d'Ed Wood, une référence pour les générations futures (s'il y a). Bon, j'ai tout de même la flemme de faire monter la sauce en figures de style et autres jeux de langue. Pas de suspense, ce chef d'œuvre se voit donc affublé d'un joli sobriquet : "D-WAR" pour "Dragon-war" (en fr: la guerre des dragons), parce que la contraction est plus vendeuse pour le marché occidental et surtout parce que le titre originel en coréen semblait donner quelque irritations au niveau du colon.

Pour faire simple c'est une production sud-coréenne écrite et dirigée par Shim-hyung-rae (nous pensons toutefois que c'est un nom d'emprunt, ce mystérieux personnage ne serait autre que Droopy, le chien de Babouin, tant son activité lors de notre séance en blu-ray se confondait avec celle d'un réalisateur lors d'une projection test, scrutant inlassablement les réactions de la populasse en train de faire de sa création un chef-d'œuvre).




Et quel chef d'œuvre!!!

L'exercice peut paraitre compliqué mais le résultat se mesurera au delà de vos espérances. Essayez donc d'abandonner ce qui fait de vous un occidental, une personne sensée et rationnelle, ou tout simplement un Homme. Combattez avec fougue l'appel au bon sens, à la logique et à votre instinct de survie. D-war ne s'apprécie réellement que lorsque le néant s'empare de votre esprit (certains y arrivent plus facilement grâce à l'absorption de drogues plus ou moins licites, toutefois cette pratique reste dangereuse tant le contrôle de votre esprit - Moi, Surmoi et Ca - reste vital pour votre santé mentale - présente et future). Autant dire qu'un ou deux jour de congés à la suite de cette expérience pourraient bien être utiles tant la descente est éprouvante (vous excuserez donc mes égarements de langue, voilà quelque heures que la projection est terminée, toutefois l'effet ne se dissipe que très lentement).

Mais quelles expérience mes enfants! Je tricherai en vous disant que ce n'est que notre premier rapport avec le monstre. A vrai dire nous avions déjà eu l'occasion de lui conter fleurette en l'emmenant gentiment dans un endroit sombre et tranquille il y a de cela quelques mois. Mais nous gardions nos impressions pour une occasion toute particulière (celle de son édition en blu-ray par exemple).

Passons au scénario qui, tout en étant une perle, soit n'existe pas, soit fût dévoré par la soif de vengeance d'un monteur mécontent (contre ce pauvre Droopy). On ne se mouille pas vraiment en pensant que ce sont les deux hypothèse à la foi qui risque d'être vérifiés.

Nous n'en dirons pas trop pour ne pas vous gâcher le plaisir mais sachez, sans quitter l'esprit du pitch de la pochette, que ce film part sur les trace d'une légende Coréenne qui veut que, tous les 500 ans, deux serpent géants (gentil/mechant; ying/yang; sel/poivre; pomme/poire) se disputent une jolie demoiselle humaine qui détient le pouvoir d'en transformer un en dragon. Or cette fois-ci , en 2007, (j'en vois qui se dissipent !) cette jeune fille se retrouve réincarnée sous les traits d'une potiche de Los Angeles (jouée par une actrice qui ne nous étonnerait pas si elle avait un passé dans le porno tant son jeu est inexpressif - tout comme la plupart des acteurs, la palme revenant à une figurante d'un certain âge).

Tout ceci ne présage rien de bien bon pour la ville de Los Angeles et ses habitants qui vont devoir subir les attaques d'un serpent géant et d'une armée de clones (pompée sur "Le Seigneur des Anneaux" autant d'uruk aie en carton - excusez l'orthographe) aux bestioles tirées d'une scène des "épisodes 1 et 2" de Star wars tendis que nous nous retrouvons avec Godzilla lors des affrontements.

Mais la culture de notre "Droopy international" ne s'arrête pas ici et les références sont légions à faire pâlir les plus grand plagiaires Chinois et Turc (ne pas rater "turkish star wars" sur nanarland).

Terminons par une bande d'annonce de mis en bouche sur votre prochaine consommation.
Si vous ne l'avez pas aperçu au cinéma en France malgré son grand succès au Etat-unis et en Corée (plus grand succès de 2007) c'est qu'une seule projection à eu lieu lors, attention, du festival de Cannes (ce qui n'entache en rien notre opinion sur cette effusion d'auto-masturbation incestueuse tout ceci n'ayant rien avoir avec la qualité des production présentées).

Jetez vous sur votre vidéo-club favori (nous n'encourageons pas le téléchargement illégal de productions "culturelles", quoi que l'on puisse discuter cette notion, toutefois ceci reste de votre ressort, les bourses étant toutes petites en cette fin d'année suite au fête et au déboires de la crise).



D War trailer

envoyé par bodom42

Même la bande d'annonce vaut le coup!! en voici une disons, moins... coréenne.

Dragon war (d-War)
envoyé par bandesannonces


Parfois même certaines répliques frisent la lucidité par des: "C'est absurde!" tout comme la dernière bande annonce qui nous dit que ce film est/recèle "quelque chose d'inexplicable" (à noter les commentaires sur dailymotion qui sont somptueux, comme quoi les asiatiques n'ont pas le monopole du mauvais goût.)

Bien à vous et bonne fin de vacances.

Des faux raccords, un montage, une narration, des effets speciaux magiques pour un film magique qui remporte tous nos suffrages au même titre (mais pas dans le même catégorie) que "Voyage au bout de l'enfer" (Deer Hunter) de Michael Cimino et ce n'est pas peu dire!!!

Article ponctué et traduit du Français anarchiste de Mr. Loose au Français plus Français par Babouin L'Oiseau.