20 janv. 2010

Cathodique ta mère.




Relents aux accents étranges, ça pue la vieillesse et la jeune bourgeoisie, les yeux me piquent, et pour cause : me voila catapulté en première classe d’un tgv en partance pour Genève ; non pas que cela me déplaise, pour un coup du sort bien heureux (ceci étant discutable, n’oublions pas que je m’enfonce vers la suisse). La société nationale des chemins de fer vient gracieusement, suite à une correspondance TER ratée (SNCF : bien connue pour gérer son réseau de manière efficace), de m’offrir une place au sein de ce sanctuaire à fric, horlogerie de pointe et chocolats.

Souvenez vous (ou sinon regardez nos articles précédents), nous avions, depuis quelques mois, en projet d’infiltrer la suisse, peuples aux mœurs bien curieuses, afin de vous rapporter nos conclusions quand à une future domination suisse sur le genre humain. Très peu excités par ce voyage, nous nous devions tout de même, par souci d’intégrité et surtout pour vous, de finir ce que nous avions entamé, l’actualité récente confirmant certaines de nos craintes.

Sans pour autant épiloguer sur la question des minarets qui au premier abord était étonnante tant les suisses on fait preuve de bon sens et de prudence, répondant brillamment au proverbe suivant, « si tu veux garder ta femme, et si tu ne peux rivaliser par la taille, tranche ce(eux) qui te dépasse ».



Il est certain que ces masses phalliques, pour le moins exhaustives quand à la capacité démesurée de plaisir que peuvent procurer les peuples de couleur foncée, auraient provoqués la perte du peuple suisse. On parle bien ici d’évolution et de préservation du génome, d’une libido de femmes suisses tous âges confondus et de toutes nature physique hypnotiquement dirigée par ces étranges constructions.
Ceci étant, nos affaires n’en aurait été que soulagés.

Fabuleuse manœuvre à deux temps d’un peuple que l’on ne devrait plus jamais sous-estimé. Non content d’avoir remporté le combat sur l’évolution, n’ont-il pas réussi le double tour de force de se faire une publicité considérable en Europe ainsi que noyauter, avec habilité, le débat en France. Débat bien connu pour s’entortiller en une spirale infernale capable du rapt de l’opinion (de ce qui est dits et répéter médiatiquement, politiquement etc..) des mois durant (tour à tour, passant : de l’islam à la bourka, de l’immigration aux banlieues, de la violence et à l’identité nationale le tout ce combinant à l’infini).


C’est ainsi qu’en mobilisant notre attention sur des sujets au demeurant futiles (Tapain l’exprimant mieux que moi : j’essaierai de vous retrouver le couplet si je m’en sens le courage mais pour le moment je suis dans un train et je n’ai pas de connexion internet :

« j’ai plus croisé d’humains nus, que de femmes voilées, dans nos rues »), dans l’ombre et avec la minutie d’une horloge, la suisse, masquée, nous prépare un sale coup.


On s’éloigne toutefois du propos de cet article qui visait seulement à réduire mon ennui, ma peur de la bourgeoisie et aussi, un peu, dans son inspiration primaire, à vous démontrer que la télévision était de loin le plus grand outil pédagogique, proposant aux parents d’abandonner toute responsabilité quand à l’avenir de ce qui fût leur plus grande erreur.
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Devant la pression qu’exerce babouin et d’autres qui n’ont tout à fait aucun rapport avec ce blog, devant l’obstination et la bêtise, tous ça parce que je ne livre pas mes articles lorsqu’il le faudrait, parce que récemment certains se sont réveillés pour écrire et que par souci de solidarité je devrais me forcer à en faire de même, aussi vite que possible. Parce que je ne trouve pas de temps pour m’emmerder (ce qui risque de changer d’ici la semaine prochaine.) je décide de vous livrer ce dernier article en plusieurs parties, ou non. C’était un peu la vocation des lois que de faire comme bon nous semblais. Je compte bien m’y tenir et toujours y prendre du plaisir.

11 janv. 2010

Un peu de poésie dans le cul des brutes.

Dans le cadre de la nouvelle rubrique "Un voyage autour du monde, un voyage en poésie", qui rendra hommage aux cultures du monde entier, voici le premier poème:

This Is Raël

Brûlons les juifs
Ca sent le porc grillé
Cochon kascher et vif
Maigres cadavres empilés
Repose en paix
Chacun ses choix
Renifle mes pets
Chacun sa shoah.


8 janv. 2010

De la sexualité, au palmier dans l'anus.


Arrêtez, je vous en conjure; ne jouissez pas alors que je reprend la plume, vous allez en mettre partout et je déteste faire le ménage.


Je n'ai jamais aimé les êtres humains. Il y a bien sûr quelques exceptions: les actrices porno, les communistes, et les vendeurs de spiritueux. J'ai toujours eu honte d'appartenir à la race humaine, et, même si c'est très appétissant, je n'aime pas me dire que je suis également un ramassis de merde. Il faut donc refuser chaque activité humaine: la santé, l'hygiène, la politesse... refusez tout. Puisque nous avons déjà traité le (vaste au demeurant) sujet de l'hygiène dans mon merveilleux article "Le Stratagème des Aisselles", attardons nous ce soir sur la pire de ces activités: La Sexualité.

Attention, bien sûr, il n'est pas ici question d'attenter à la vie de la masturbation. Non. Nous allons au contraire prouver qu'il est parfois plus bénéfique de se retourner la nouille en solo que de faire du sexe en coop. Alors désolé, j'aurais bien tenté de vous faire un truc à la con du genre "Les 10 bonnes raisons de ne pas sexer" mais je n'ai aucune idée d'où je vais. Non non, vous allez vous contenter de ce que je vous donne, sous peine de vous faire nazier l'anus.

Cela me semble évident (mais apparemment ca ne l'est pas pour tout le monde puisque je suis ici) mais faire l'amour (ou motoculter le vagin, selon les cultures) est avant tout un acte de reproduction. Ah! Faire des bébés, vous me l'accorderez, est un acte profondément dégoutant. Alors bien sûr, si vous êtes communistes, vous mangez des enfants. Mais n'oublions pas qu'en aucun cas la fin justifie les moyens, et qu'il ne faut pas prendre le risque de faire des mioches. Avoir une vie sexuelle, c'est rater sa vie.

Niquer (je n'aime pas forcément ce mot, mais pour que votre lecture soit meilleure je m'oblige à utiliser des mots différents) est aussi incompatible avec le sang de Jésus. Il y a bien certains êtres qui jurent que l'alcool les sexualise. Mais c'est faux. L'alcool rend bête et mou, c'est après tout pour cela que l'on en fait un usage immodéré, et ce chacun des jours que Dieu fait. Il faut dans la vie avoir le sens des priorités, et quand boire en est une, la sexualise n'en est pas.

Refusons le sexe en tant qu'homme hétérosexuels pour ce qu'il est: sale. Peu importe le smegma et autres mets qu'entoure notre verge, il nous distille comme vous le savez une incomparable fragrance qui ravit nos narines autant que possible. Mais oui, le sexe féminin est sale. Comment pourrait-il en être autrement alors qu'il est à l'intérieur? Faisons confiance à la science: les femmes et le sexe, c'est sale. D'ailleurs, pourquoi Dieu a fait la femme avec ce don pour le ménage? Pourquoi, dès sa naissance la femme est faite pour nettoyer? Pour pouvoir au mieux enlever toutes les saletés de sa vulve. Néanmoins, Dieu a agit en vain: c'est sale. D'où l'expression "sale pute".

Dave Carradine est mort des suites d'un jeu érotique. Est-ce un exemple à suivre? Le roi du kung fu nous a montré la voie par une fatale erreur, suivons la (la voie, bien sûr).

Rattouler la fachnoute parait à plusieurs égard comme être un passe temps des plus apréciables, moi même je dois l'avouer. Mais n'oublions pas que l'acte de défouraillage reste un acte sportif, et implique un effort physique. Qu'y a-t-il de plus immonde que le sport?


Récapitulons: avoir recours à la sexualité donne des enfants qui grandissent dans le ventre sale de femmes sales qui vous demanderont une pension si vous la quittez, ces enfants sales vous gâcheront la vie et vous forceront à faire une nouvelle fois du sport et des jeux érotiques puis vous irez en prison. Il n'y a ici que des faits. Je vous en conjure, ne les ignorez pas. Je ne crois pas que vous comme moi voulons une telle vie.

Malgré tout, ne jugeons pas Gianna Michaels, Rachel Starr, Carmella Bing, Sasha Grey, ni toutes les autres actrices porno. Ce sont des femmes formidables qui s'adonnent à cet immonde acte pour que nous puissions nous en détacher. Merci à vous.

Lectures conseillées: "Women" by Bukowski, "Le Bleu du Ciel" par Bataille, " ou le vrai usage d'une sexualité tantôt belle et tantôt répugnante.



Je ne vous demande pas pardon pour les néologismes, car je ne vous aime pas.