16 nov. 2008

Y a bon banania

Bonjour, ou Bonsoir selon l'heure.

Ce soir, car pour moi c'est le soir, nous parlerons Philosophie. Certains s'endorment déjà, je le sais. D'autres jubilent et se disent chouette. Ces derniers sont rares (quoi que, je bouillonne déjà d'impatience). Nous ne parlerons pas ici de Sartre, Descartes, Leibniz ou autre (ce passage là a été censuré par ce connard de Mr Loose), mais de Roman Simar.

Petite présentation de l'homme. Roman naquit dans la jungle juive de Pologne où, comme il le dit si bien, il n'a vu que les nez crochûts de mes voisins pendant toute mon enfance. Fait très dur pour le jeune, il se retrouve a ne plus parler, et se renferme dans ses deux passions: les Beaux Hommes et les Babouins. Il a beau essayer, de temps en temps, poussé par son belleck de père Phillipe, de se rapprocher des ses compagnons de classes en leur racontant ses passions, ces derniers ne sont intéressé que par l'argent... Les années passent, et le petit Roman devient GRAND (partout) et se met à voyager. Il va en Afrique, en Irlande, au Méxique... Et c'est là que lui vient sa révélation: le Paradoxe Comportemental.




Ce Paradoxe lui vient à l'esprit quand, en Afrique, dans un village d'une peuplade noire, il rencontre un homme, nommé Banania. Ce Banania, gentil comme tout et très accueillant, le sourire aux lèvres, lui parle, dans son dialecte. "Y a bon! Y a bon! Banane!" disait-il. Roman, comprehenssif, savait à qui il avait à faire et jouer le jeu de Banania.

Son séjour se déroule à merveille, et chaque soir, la village de Banania accepte que Roman ne passe pas sa soirée en rythme à danser. Chaque soir, il va se coucher, et, tolérant des coutumes, Banania City danse toute la nuit. Mais un matin, à son réveil, Roman découvre une vision d'horreur. Ce matin là, en sortant de sa hutte, il découvrit une pluie démentielle, des tornades, les animaux qui hurlaient à la mort. C'était ,une vision apaocalyptique. Roman cherchait partout, apeuré, son ami Banania le noir, pour un peu de réconfort, quelques sourires, un peu de langage nègre comme il sait si bien en donner. Mais il demeurait introuvable...

Roman cherchait encore et encore, et, aprés quelques minutes semblables à des journées entières d'enfer, il trouvait enfin Banania.

-Que se passe-t-il Banania?!
-Il n'y a pas bon...
-Mais qu'est ce que tu racontes Banania?
-Je te dis qu'il n'y a pas bon, il pleut, tout va mal, et je ne danse même plus en rythme...

Roman resta bouche bée devant cet "homme de couleur" qui parlait comme un blanc.

-Peux-tu encore me parler Banania?
-Oui mon ami...

Roman n'en pouvait plus. Il était apeuré. Sans hésiter une seconde, prenant l'individu qu'il avait devant les yeux pour un imposteur, il tua le "faux Banania".

Mais ca n'était pas un faux Banania. Ce concept de Faux-Banania, Roman va l'utiliser en complémentarité de son "Paradoxe comportemental". En effet, il prend pour exemple son ami nègre Banania.

"Je me rappelle de mon voyage en Afrique où j'ai alors rencontré Banania [...] Un beau jour, il changea d'un tout à l'autre. Il parla normalement, et n'avait plus le sourire aux lèvres. C'est ce que j'appelle "Déterminisme phénoménologique" ou "Paradoxe comportemental". L'homme, suivant ce qu'il est, est déterminé à être ce qu'il est suivant ses gènes. C'est ainsi qu'un roux sera destiné à sentir mauvais, qu'un juif sera avide d'argent, ou qu'un noir ne saura parler que par "y a bon banania" ou "banane" (entre autres). Mais quelque fois, l'Inconscient, qui détermine le sujet, pousse ce dernier à faire des choses pour lui incroyables. Ainsi, dans ma propre expérience, je n'ai pas remarqué les roux par leur immonde odeur mais simplement par leur attroce apparence. C'est donc ce que l'on appelle le "Paradoxe Comportemental". Mais cet évènement (qui se produit rarement) produit aussi un paradoxe au niveau de l'espace et Distord réellement ce qui nous entoure. De la sorte, un Juif qui n'aime plus l'argent va détruire le monde, car c'est de la disparition de son essence que vient l'annihilation [...] Le seul remède est la mort [...] Mais il ne faut pas oublier que la nature du juif est de tromper, il faut donc se méfier d'un rabbin qui n'aime plus l'argent."

Aujourd'hui, la pensée de Roman Simar et son apport à la connaissance humaine est encore trop méconnue, malgré quelques manifestation honnorifique de milliers de gens en Israël, très certainement pour l'encourager.

2 commentaires:

Unknown a dit…

CIMER

Anonyme a dit…

mais il est pd, non ?